JAASCAÏ 

L’ALBUM LETTRE DE FEU.

Du Gospel au rap passant pas le reggae-dance hall et l’électro, la sonorité éclectique de ce premier album semble plaire à toutes générations et réconcilier plusieurs avec le rap. 

Ce binôme chrétien qui voulait un album intergénérationnel, et pas moins bon que ce que l’on trouve dans les bacs, semble avoir remporté son défit. Ainsi en est-il de ce jeune homme qui s’est assis, ayant saisi une plume ardente, commença à écrire. 

Dans sa « lettre de feu », Ludwig encourage, exhorte, à tenir bon coûte que coûte en s’appuyant sur Dieu qu’il voit comme le Père, dont le chant « El Amor » qui relate son enfance difficile loin de son père terrestre. A travers « Boxing (mon combat) » il relate l’intensité, les difficultés ainsi que l’issue des luttent intérieurs auxquelles nous sommes tous soumis, dont notamment désespoir et malheureusement, le « Suicide ».

Bien que le quotidien ne soit pas toujours facile, Ludwig ayant gouté à la Vie et ses bienfaits, il la voit belle et bonne et s’écrie «Awesome God » en s’émerveillant devant la grandeur du Créateur de ces choses. Nous savons tous plus ou moins qu’il ya « Un temps pour toutes choses ». Et pour partir « A la recherche du Bonheur », il faut bien noter «Le Jour et l’Heure » ainsi comme le dit Jaascaï : J’exprime « Les mots de mon cœur » pour parler d’une seconde chance et de la notion du pardon avant de présenter « Mon Histoire» lorsqu’on ouvrira les portes pour « l’Entrée du Roi ».